Ci-dessous les déchets interdits pour votrepoubelle!
En déposant vos déchets au bon endroit, vous contribuez à la protection
de l'environnement. Vous contribuez également au bon fonctionnement de vos installations municipales ainsi qu'à la sécurité des employés qui y travaillent.
Les piles, les batteries oules ampoules:vous pouvez les recycler via des filières spéciales. Il existe beaucoup de points de collecte dans des
supermarchés notamment.
Les capsules en aluminium pour le café :elles peuvent être ramenées au vendeur qui les prend alors en charge pour les rediriger vers une filière de
recyclage appropriée.
Les déchets d’équipementsélectroniques:il existe des filières dédiées pour ce type de déchet. Vous pouvez les ramener à un distributeur qui a
l’obligation de récupérer votre vieil appareil (en échange de l’achat d’un neuf). Vous pouvez également en faire don à une association, le déposer dans une déchetterie ou dans des
points collectes prévus à cet effet.
Les huiles alimentaires :elles peuvent être jetées dans votre poubelle ordinaire mais il est préférable de les déposer dans des points
de collectes spécialisés.
Leshuilesde moteurs et autres huiles de vidange :vous pouvez les jeter dans des points de collecte spécifiques, chez un garagiste ou dans des bacs de collecte
dédiés.
Les pneus : ils doivent
être ramenés chez un garagiste ou un distributeur.
L’association Yonne 100% qui œuvre à l’inclusion sociale, économique et numérique sur le département lance ses 2 premières promotions d’ENTREPRENEUR AUTONOME, programme de remobilisation des
jeunes de moins de 30 ans vers l’emploi.
Nous avons bénéficié d’un financement de l’IEJ/FSE (Initiative pour l’Emploi des Jeunes) pour accompagner 24 jeunes icaunais pendant 3 mois, d’octobre à décembre 2020, en 2 groupes de 12, l’un
sur AUXERRE et l’autre sur BLENEAU. C’est une opportunité pour nos jeunes sans projet car ils pourront en seulement 3 mois et 3 jours par semaine se faire labelliser Entrepreneur
Autonome. Label que nous allons promotionner auprès des entreprises locales.
Horaires de car ligne 186 (collège)-187(collège) et 498 (primaire-maternelle)
Il y a des matières qui peuvent échapper à ces deux destinations : ce sont les matières organiques. Bien
compostées elles finiront avec bonheur dans votre jardin ou vos massifs de fleurs plutôt que d'être enfouis à jamais dans le fond d'une décharge.
On peut mettre au compost :
Les déchets de cuisine (sauf corps gras)
Les tailles de haies (sauf thuyas qui sont néfastes au développement de plantes)
Les tontes de gazons
Les mauvaises herbes
De la paille
Éventuellement le produit du curage de vos poules ou lapins,
Les feuilles mortes,
Les vieux légumes non consommés et d'une manière générale toute matière organique non
polluée.
Que vous disposiez ou non d'un composteur, les règles sont simples : les matières ne doivent pas être tassées pour une bonne circulation de l'air et
suffisamment humides. Un composteur ce justifiera si votre volume à composter et faible. Sinon il faut préférer le compostage en tas, à même le sol, sans fosse ni dalle de béton. Ce qui permettra
aux vers de terreau et autres organismes vivant d'envahir votre compost et d'accélérer sa décomposition.
Pour bien fonctionner votre tas doit faire au moins 1.20m de largeur et 70cm de hauteur de section en forme de trapèze. La longueur est en fonction de la quantité
de matière dont vous disposez est donc indéfinie.
Il est bon que ce tas ne soit pas trop exposé au soleil. Le côté Nord d'une haie ou d'un mur est donc préférable.
Commencer par disposer sur le sol les éléments grossiers, surtout les tailles de haies, les petits branchages, qui favorisent une bonne circulation de l'air.
Ensuite il faut autant que possible alterner des couches de matières sèches et de matières plus humides. Par exemple si vous mettez un gros paquet de tonte de gazon, il va se colmater et
ressembler rapidement à de la bouse de vache, avec mauvaises odeurs. Il faut le disposer en couches minces alternées avec des matières plus sèches (paille, herbe sèche) .
De même les déchets de cuisine, s'ils ont séjourné dans la poubelle, forment souvent une masse compacte qu'il convient de disloquer et répartir.
A chaque apport recouvrir le tas avec de la paille ou des herbes séchés.
S'il ne pleut pas ou trop peu il est bon d'arroser le tas. Par contre, s'il pleut de trop il est préférable de protéger le tas par une feuille de
plastique. En quelques mois (ce temps est variable en fonction des matières, de l'humidité et de la température) vous allez obtenir un terreau d'une
haute qualité fertilisante. Vous pouvez l'utiliser immédiatement ou le mettre en sac après l'avoir laisser sécher en l'étalant à l'abri. S'il reste des matières non décomposées, elles
retourneront immédiatement au compost.
Un compost bien mené ne dégage pas de mauvaises odeurs, une telle méthode suppose de la place et suffisamment de matière, mais peut être que votre voisin est prêt à
vous donner les siennes.
ATTENTION la canicule revient
Voici quelques plaquettes à télécharger pour connaître la marche à suivre en cas de canicule.
Le temps passe puis vient un jour ou les possibilités d'accueil de nos ainés n'est plus possible au domicile. Vient alors le moment de trouver une maison de retraite. Afin de faciliter vos
recherches nous vous faisons partager le lien ci-après d'un site très bien conçu répertoriant l'ensemble des maisons de retraites de l'Yonne. Cliquez ici : https://www.heureux-en-retraite.com/maisons-de-retraite-et-ehpad/departement/89/yonne/
L’évolution de notre société nous montre un accroissement
des actes violents ou délictueux faisant de nombreuses victimes qui souffrent d’un manque d’assistance, de connaissance de leurs droits, de soutien psychologique…
Notre association départementale, agréée par les pouvoirs
publics, travaillant en étroite collaboration avec les instances judiciaires et civiles, est au service de toutes les victimes d’infractions pénales et met ses moyens à leur disposition pour
qu’elles soient soutenues, conseillées et accompagnées.
Ses salariés, dont une psychologue, ses bénévoles, dont un
médecin pédopsychiatre, en parfaite liaison avec le Conseil d’administration, formés à cet effet, sont là pour vous.
N’hésitez surtout pas à prendre contact avec nous sur nos
différents sites ou dans nos nombreuses permanences. Un accueil particulier vous y est réservé.
Notre volonté est d’être à vos côtés.
Vous trouverez ci-dessous en téléchargement toutes les informations pour contacter l'ADAVIRS
Le déploiement du nouveau compteur
électrique suscite de nombreuses craintes.
Qui faut-il croire ? Les opposants au nouveau compteur électrique Linky se déchaînent depuis le début de son déploiement national, en décembre 2015. Ils multiplient les tracts, les
communiqués à la presse et les lettres aux maires. Avec un certain succès, puisque plusieurs municipalités ont pris une délibération pour refuser l’installation de Linky sur leur territoire. Deux
principales associations sont à la manœuvre : Robin des Toits qui s’est fait connaître par son opposition aux antennes-relais, et Next Up, qui insiste sur les risques d’incendie, les pannes
des appareils électriques et les dysfonctionnements de la domotique.
Ce compteur va bouleverser notre manière de consommer
En face, Enedis assure que la réglementation est scrupuleusement respectée. Enedis, c’est le tout nouveau nom d’ERDF – la filiale d’EDF chargée de la gestion du réseau de distribution de
l’électricité sur la presque totalité du territoire français. Mais son « Dormez tranquille » n’est pas tenable. Ce nouvel appareil ne se contente pas de compter. Il communique et il va
bouleverser notre manière de consommer l’électricité. Il fait partie de ces multiples capteurs des « villes intelligentes » en cours de construction. On ne peut donc pas faire comme s’il
s’agissait juste de la pose d’un compteur un peu plus moderne.
Passer en revue les principales accusations portées contre Linky permet de souligner le caractère excessif de certaines d’entre elles. Mais cela fait aussi ressortir des besoins, qu’il s’agisse
de recenser les incidents, suivre l’évolution des factures, étudier les nouvelles offres, réaliser des mesures… Un comité de suivi Linky existe déjà au sein du ministère de l’Environnement. Et
s’il sortait de l’ombre pour se transformer en véritable observatoire Linky, qui rendrait public son programme de travail et son rapport annuel ?
Dangereux ? Des réactions controversées
Voilà sans doute la question la plus inquiétante : Linky émet-il ou non des ondes électromagnétiques dangereuses pour la santé ? Les opposants rappellent que les radiofréquences ont été
classées potentiellement cancérogènes pour l’homme par le Centre international de recherche sur le cancer (Circ). Soit, mais c’était plutôt l’utilisation du téléphone portable qui était visée.
Alors, qu’en est-il précisément de Linky ?
Pour les opposants, il n'y a pas de doute
L’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses) a été saisie par le ministère de la Santé et devrait rendre un avis d’ici la fin de l’année.
On peut trouver que c’est bien tardif. Certes, mais à l’inverse on peut aussi regretter que les opposants estiment l’affaire entendue : pour eux, Linky est dangereux. Le dispositif utilise
deux technologies pour communiquer : le courant porteur en ligne (CPL) entre le compteur et le concentrateur de quartier, et le réseau GSM – le même que pour les téléphones
portables – entre le concentrateur et le centre de gestion d’Enedis.
Le courant porteur en ligne accusé de tous les maux
On peut s'étonner que le courant porteur en ligne concentre les critiques, car il est déjà largement utilisé. Les fournisseurs d’accès Internet notamment proposent à leurs clients des prises CPL
pour faire communiquer leur box Internet avec leur box télé. Mais les opposants font valoir qu’avec Linky, les clients n’ont pas le choix, le CPL leur est imposé en masse.
Le CPL consiste à ajouter une fréquence supplémentaire sur les fils électriques existants pour transporter des données. La fréquence pour Linky est à 75 kHz. Est-ce dangereux ?
L’association Robin des Toits soutient que oui. Elle explique que le réseau électrique a été conçu pour supporter un courant à 50 Hz, pas une fréquence à 75 kHz. Selon eux, l’ajout de
la fréquence ferait « rayonner
tout le réseau » en permanence.
Des critiques dénuées de fondement
Le problème, c’est qu'il a été demandé fin février à Robin des Toits quelles mesures avaient été faites pour mesurer ce rayonnement. Mais l’association n’a pas pu les fournir et elle a répondu
qu’elle était en train de les organiser ! Quant à la vidéo qui circule et montre une sonde avec des chiffres qui montent lorsque l’on s’approche du compteur ou d’une prise électrique,
difficile de lui accorder la valeur de preuve qu’elle prétend avoir. Tous les appareils électriques rayonnent !
De son côté, Enedis fait des mesures. Ces dernières montrent qu’il y a bel et bien un champ supérieur lorsque le compteur communique, mais qu’il est très faible. La valeur relative du champ
électrique généré (écart entre le compteur et le bruit ambiant) est de l’ordre de 0,1 V/m à 20 cm de l’appareil. On ne distingue plus rien à partir de 30 cm.
Un réel besoin d'études indépendantes
Le Centre de recherche et d’information indépendant sur les rayonnements électromagnétiques (Criirem) a également fait des mesures. Résultat :« Les
lieux proches des systèmes CPL et des compteurs télérelevés sont exposés à des champs électromagnétiques faibles. » Il préconisait néanmoins « une
distance de prévention de deux mètres pour des expositions non impactantes dans les lieux de vie ». L’Anses pourrait-elle reprendre cette recommandation ?
Quant à l’Agence nationale des fréquences (ANFR), elle vient de rendre publiques les
siennes. Elles sont rassurantes : le compteur en lui-même n’émet pas plus qu’un compteur classique. Et lorsqu’il communique via les CPL, l’augmentation des émissions est très faible.
L’ANFR promet de poursuivre ses mesures chez des particuliers. Elle peut déjà être saisie par tout citoyen qui souhaite faire mesurer l’exposition aux ondes électromagnétiques dans un lieu
d’habitation ou un lieu accessible au public.
Inutile ? Tout dépendra des offres à venir
Le principal objectif de Linky est rappelé dans la loi
de transition énergétique votée en août 2015 : « Inciter
les utilisateurs à limiter leur consommation aux périodes de pointe. » Comment Linky peut-il y parvenir ? Il faut commencer par rappeler que le compteur permet un comptage
plus précis. Le gestionnaire du réseau récupère tous les jours les données alors qu’il devait auparavant attendre le passage du releveur tous les six mois ou l’autorelevé des clients tous les
mois. Le gestionnaire est ainsi en mesure de connaître chaque jour la consommation de la veille, heure par heure.
Inciter à consommer quand la demande est plus faible
Ce comptage plus précis va permettre aux fournisseurs (EDF, Lampiris, Direct Energie…) de proposer de nouvelles formules tarifaires. Nous en avons un premier exemple avec l’offre Elec Week-end,
proposée depuis un an par Engie (ex-GDF-Suez). Les clients déjà équipés de Linky se voient offrir un tarif plus avantageux non seulement la nuit, comme la plupart des heures creuses actuelles,
mais également le week-end. Linky permet de mesurer leur consommation pendant ces deux périodes et d’établir leur facture en conséquence. L’objectif principal est atteint puisque les clients sont
incités à consommer la nuit et le week-end, autrement dit lorsque la demande globale est plus faible.
Le compteur permettra une autre forme de délestage lors des périodes de pointe. Nous empruntons à nos confrères australiens de la revue Choice un
exemple en vigueur dans l’un de leurs États : un fournisseur local propose à ses clients un contrat qui prévoit que leur système de climatisation est coupé pendant dix minutes toutes les
heures en cas de pics de consommation. Cela n’affecte pas la température du logement et permet de réduire la consommation d’électricité. En contrepartie, les clients obtiennent une remise sur
leur facture. Le fournisseur intervient à distance pour couper et réenclencher le système connecté au compteur.
Le compteur sera bénéfique s'il est bien utilisé
Linky ne sert donc pas à rien. Il peut notamment faciliter l’ajustement de la consommation et de la production d’électricité, à l’échelon national mais aussi local. Comme le disent nos confrères
australiens, le compteur peut être bénéfique pour les consommateurs et pour le réseau s’il est bien utilisé. Tout dépendra donc des offres qui vont être faites et qui devront être suivies de
près, le risque étant grand pour les consommateurs d’être confrontés à des propositions complexes et difficiles à comparer.
Des avantages pratiques réels
Le nouveau compteur n’a pas été conçu pour être directement utile au consommateur, il n’en présente pas moins quelques avantages pratiques réels : plus la peine de perdre une demi-journée de
travail pour ouvrir la porte au releveur. Les clients ont en effet l’obligation aujourd’hui de laisser l’accès au compteur au moins une fois par an. S’il est à l’intérieur du logement, cela
implique d’être présent. Avec Linky, la relève s’effectuera à distance. Idem pour la mise en service qui devrait donc être plus rapide lors de l’entrée dans un nouveau logement.
Des factures plus précises
Terminé également, les factures estimées entre deux relevés. Elles seront systématiquement établies à partir de la consommation réelle. Les clients pouvaient toutefois d’ores et déjà envoyer un
autorelevé pour être facturés à partir de l’index qu’ils communiquaient. Le nouveau compteur les dispensera de cette opération.
Les compteurs défectueux devraient enfin être beaucoup plus rapidement détectés. Ils sont à l’origine de nombreuses réclamations. La facture de rattrapage peut couvrir une longue période et les
sommes en jeu être importantes. Les compteurs communicants, eux, envoient un signal d’une microseconde toutes les dix minutes pour garantir leur bon fonctionnement. Si l’un d’eux tombe en panne,
son repérage sera quasi-immédiat.
L'installation est à la charge d’Enedis
Aucune somme n’est réclamée aux clients lors de la pose de Linky. Mais la fabrication et l’installation du compteur ont bien un coût, estimé à 5 milliards d’euros. Il devrait être
largement compensé par les économies faites par Enedis. Ce dernier indique qu’il va réaliser à distance 70 % des opérations auparavant effectuées sur place, ce qui lui permet de réaliser
d’importantes économies sur le personnel. La surveillance rapprochée du réseau va aussi permettre à Enedis d’éviter les « pertes
en ligne », une expression qui couvre notamment la fraude.
La Commission de régulation de l’énergie (CRE) a estimé que le compteur était « neutre
financièrement ». Autrement dit, que les économies compenseraient les coûts d’investissement sur la durée. Dans leur facture, les consommateurs continueront à payer une part
pour « l’acheminement » de
l’électricité, mais celle-ci ne devrait pas évoluer à cause de Linky.
Pas fiable ? Des incidents isolés pour l’instant
Le nouveau compteur est accusé d’être à l’origine d’incendies. Lors de sa phase d’expérimentation, qui s’est déroulée à Lyon et dans la région de Tours entre mars 2010 et mars 2011, huit
incendies ont été répertoriés. Les opposants pointent également des incendies au Canada. L’Union des consommateurs québécois a effectivement demandé en mai 2013 un moratoire sur l’installation
de compteurs communicants en invoquant notamment « une
augmentation du nombre d’incendies déclenchés par l’explosion des compteurs ».
Des risques à prendre en compte
Enedis ne nie pas les huit incendies de la phase d’expérimentation et rappelle qu’ils sont à mettre en perspective avec les 300 000 compteurs installés pendant cette période. Il assure
que l’incendie n’est pas dû au compteur, mais à des câbles mal serrés lors de la pose. Quant au Canada, il faut savoir que les compteurs ont été installés à l’extérieur des habitations et qu’il y
a eu des problèmes d’étanchéité.
Autre critique : le nouveau compteur disjoncterait plus fréquemment que l’ancien. Ce serait l’une des « arnaques » de
Linky : le compteur étant plus sensible, il imposerait de souscrire un abonnement plus cher avec une plus forte puissance. Le cas s’est effectivement présenté pendant l’expérimentation à
Lyon et à Tours.
Des perturbations à évaluer
Environ 1 % des clients ont demandé une augmentation de la puissance souscrite. Mais Enedis explique que c’est parce que leur disjoncteur n’était pas réglé à la bonne puissance. Il tolérait
en quelque sorte les dépassements. Ce n’est plus possible avec Linky, qui intègre son propre disjoncteur.
Enfin, des pannes d’ordinateurs et de téléviseurs auraient été constatées dans des logements équipés de Linky, assurent les opposants aux nouveaux compteurs. Ils insistent sur les frais de
réparation élevés qui vont être laissés à la charge des consommateurs. « Linky
répond à la norme CE en matière de compatibilité électromagnétique », rétorque Enedis. «Cette
norme impose de vérifier que le compteur ne va pas perturber les autres appareils et à l’inverse, qu’il ne risque pas d’être perturbé par eux», explique
le Laboratoire national d’essais (LNE), qui assure que Linky est conforme à la réglementation sur ce point.
Intrusif ? Il faudra être vigilant
Le compteur enregistre la consommation d’électricité toutes les heures. Mais, techniquement, il peut aussi le faire toutes les demi-heures, voire toutes les dix minutes. « Une
courbe de charge avec un pas de dix minutes permet de déduire de très nombreuses informations relatives à la vie privée », indiquait la Commission nationale informatique et
libertés (Cnil) dans une délibération
du 15 novembre 2012.
La Cnil a posé des règles
« Les
heures de lever et de coucher, les heures ou périodes d’absence ou encore, sous certaines conditions, le volume d’eau chaude consommée par jour, le nombre de personnes présentes dans le logement,
etc. », faisaient partie des exemples donnés par la Commission. Il y a donc très clairement des risques pour la vie privée. La Cnil a donc posé des règles pour encadrer les
conditions de collecte et d’utilisation de la courbe de charge. On retiendra qu’Enedis ne peut la transmettre à des fournisseurs ou à d’autres prestataires qu’avec le consentement exprès du
client.
Les refus en question
Certains consommateurs ont refusé l’installation du compteur et certaines communes ont également pris une délibération pour s’y opposer. Selon Enedis, le taux de refus était de 1,6 % fin
février.
Le compteur n’appartient pas aux consommateurs, mais aux communes ou à leurs regroupements qui en délèguent la gestion aux entreprises de distribution. Ces autorités concédantes peuvent-elles
s’opposer à Linky ? Leur marge de manœuvre est limitée, si l’on en croit une étude juridique réalisée pour le compte de la Fédération nationale des collectivités concédantes et régies
(FNCCR). Le comptage fait partie des missions des entreprises de distribution de l’électricité et la loi de transition énergétique adoptée en août 2015 leur impose de moderniser leur système
de comptage.
Les autorités concédantes pourraient donc être poursuivies si elles s’opposaient au déploiement. Les maires ne semblent pas non plus pouvoir se prévaloir de leur pouvoir de police générale.
Celui-ci peut être utilisé en cas de risque grave ou imminent alors que l’opposition au compteur relèverait plutôt du principe de précaution.
Afin d'avoir un avis d'une autorité indépendante, voici ce que dit l'UFC Que choisir:
Votre commune s'engage vers le "zéro phyto" ! Qu'est ce que c'est ?
Source importante de contamination des eaux et de risques d'intoxications aiguës ou chroniques pour les usagers et professionnels en charge de l'entretien des espaces verts, routes et voiries,
les pesticides sont interdits comme le prescrit la Loi sur la transition énergétique depuis le 1er janvier 2017 dans les jardins, espaces végétalisés et infrastructures accessibles au
public. C'est possible et c'est un défi, certes, mais avant tout l'opportunité de proposer une nouvelle conception de la nature en ville. Plus de 4.000 communes françaises sont déjà engagées dans
des démarches de réduction ou de suppression des pesticides dans les espaces publics dont elles ont la gestion.
Passer au "zéro phyto" nécessite d'intégrer des principes de gestion écologique en amont des projets d'aménagements ou de réorganisation des espaces : L'adoption d'une gestion différenciée est
alors la clé pour réduire l'usage des pesticides. Mieux, dès sa conception ou sa réfection il est nécessaire de penser ces espaces selon l'usage qui en sera fait.
La commune de Lailly s'est engagée également dans cette voie notamment au niveau des cimetières de Lailly et de la Charmée. Déjà, la commune n'utilise plus de pesticide pour éliminer les herbes.
Cela n'a que des avantages. Avant, le cimetière devait être fermé au public après avoir été traité, durant 48 h, afin que les visiteurs ne soient pas incommodés par les produits toxiques. Grâce à
la disparition des pesticides ce désagrément à disparu. En outre, les nappes d'eau souterraines ne sont plus victimes de cette pollution. Cela augmente donc la qualité de l'eau consommée par les
habitants.
Plusieurs solutions s'offrent afin de remplacer l'usage de produits toxiques. Le désherbage manuel, bien sûr. Si chaque possesseur de tombes prenait l'engagement de supprimer les petites herbes
autour de sa concession, ou si chacun nettoyait devant sa maison une grosse partie du travail serait faite. Pour les surfaces plus importantes des outils mécanique existes afin de s'adapter dans
toutes les configurations environnementale. Une autre question se pose : Existe-t-il de "mauvaises herbes" ? La réponse est non. Les herbes comme toutes les plantes, comme chaque insecte (oui les
moustiques, bien que pénibles à supporter, sont utiles à notre environnement !) font partis d'un TOUT. Chacun à un rôle. Alors, bien sûr, nous sommes dans un monde qui se veut aseptisé (pas
d'herbe, pas de son de cloche, pas de fumée, pas d'insecte, pas de voisins bruyants, pas de coq qui nous réveille etc...). Cette tendance n'est pas viable à moyen et long terme pour notre
environnement. Il est donc nécessaire de changer notre vision des choses. De s'adapter à la nature et non faire l'inverse en essayant coûte que coûte de faire disparaitre ce qui à nos yeux nous
semble "moche". Il faut donc accepter, d'avoir un peu d'herbe par ci par là. Bien sûr il faut la contrôler en la coupant régulièrement. Il ne faut pas non plus se laisser envahir. Mais il faut
accepter d'avoir un bas de mur avec un peu d'herbe, des trottoirs un peu verdoyant, un cimetière engazonnés mais propre. La commune de Lailly à fait ce pari, comme beaucoup d'autres en France
afin de préserver notre environnement, notre qualité de vie et la qualité de la "Terre" que nous allons laisser aux générations futures. Il faut savoir s'adapter à la nature et à ses rythmes.
Vous trouverez ci dessous en téléchargement des informations techniques sur le "zéro Phyto". N’hésitez pas à nous contacter à la Mairie si vous avez des questions ou des suggestions à faire...
Peut-on cueillir les fruits de l'arbre du voisin ?
Les branches du cerisier du voisin dépassent assez du mur pour que des cerises puissent mûrir au-dessus de notre propriété.
Avons-nous le droit de les cueillir ?
Vous êtes parfaitement dans votre bon droit en récoltant ou ramassant les fruits tombés sur le sol de votre terrain. En revanche, il vous est
interditde les cueillir sur l'arbre, même si les branches dépassent sur votre terrain. De votre côté, vous n'êtes pas obligé d'accepter que
votre voisin franchisse votre propriété pour récolter la totalité de ses fruits. Autant dire que vous avez tous les deux intérêt à trouver une solution amiable. Dans le cas où vous ne pourriez
pas vous entendre pour des raisons personnelles et que l'arbre en question vous procure une ombre indésirable, vous pouvez obliger votre voisin à couper les branches qui dépassent chez vous. Mais
attention : surtout ne le faites pas vous-même, la loi l'interdit. Vous devez posséder l'autorisation du propriétaire ou celle du juge. A noter : lorsque ce sont les racines qui empiètent sur le
sol de votre propriété, vous êtes en droit de couper en limite séparative les racines des arbres voisins qui empiètent (article 673 du Code civil). Important : lorsqu'un usage s'établit pendant
au moins trente ans, une servitude s'établit au profit de votre voisin. Vous ne pourrez plus rien alors contre lui.
Programme forme et santé: Vous avez au moins 60 ans ? Vous habitez en Bourgogne ? Vous souhaitez prendre soin de vous ?
A compter du 18 août 2017, la gendarmerie de Villeneuve l'Archevêque (12 route Nationale - 89190 MOLINONS) : 03 86 86 70 17 sera ouverte au public de façon certaine tous les
vendredis de 9h à 12h et de 14h à 18h (sauf très grave intervention sur le secteur).
L'ouverture à d'autres moments sera possible en fonction des plannings des interventions.
Le RAM (Relais Assistants Maternels)
Le RAM itinérant dessert Villeneuve l'Archevêque depuis septembre 2016 le mercredi de 9h30 à 11h au 41 rue de la République et de 14h à 16h à l'étage de la Mairie.
L'animation s'adresse aux assistantes maternelles mais aussi aux parents et enfants.
L'animatrice informe sur le métier d'assistante maternelle, accompagne les professionnels dans leur métier.
Le RAM met en lien avec les parents qui recherchent un mode d'accueil sur le territoire. Il soutient ces derniers dans leur fonction de parents-employeurs. Il offre des animations aux
enfants : ateliers d'éveil ....
Enfin, c'est un espace de découvertes et de socialisation où les enfants vivent de nouvelles expériences. Les assistantes maternelles garantissent une évolution de la qualité d'accueil du jeune
enfant.
Les parents pourront choisir leur assistant maternel en s'appuyant ainsi sur de meilleures garanties d'accueil. De ce fait, la présence du RAM est une richesse sur notre territoire mais son
maintien dépendra de la fréquentation. Dès la rentrée des vacances de février, le RAM fonctionnera également avec l'école maternelle dans le cadre de l'intégration de futurs élèves.
Internet: identifiez les risques
Réseau informatique mondial, c'est un outil formidable de communication, d'expression et de liberté. C'est aussi un espace où prospèrent de
nouvelles menaces.
Les menaces présentes sur internet concernent essentiellement les jeunes, la génération internet est connectée à plus de 80%. Comme utilisateurs ou responsables
légaux, les parents doivent être particulièrement sensibilisés à ces dangers.
Les principaux dangers pour les enfants :
---> 1 Exposition involontaire
à des images violentes ou choquantes: Les enfants sont confrontés sur internet à des contenus qui ne sont pas adaptés à leur âge par exemple sur les sites de téléchargements illégaux (pornographie,
violence, haine...), en utilisant les moteurs de recherche, en cliquant sur des liens reçus dans des courriels.
---> 2 Les pressions
psychologiques: L'utilisation des sites ou logiciels de communications tels que les tchats, MSN, messagerie instantanée, etc. Les enfants fragiles peuvent y être influencés par
des personnes mal intentionnées aussi bien mineures que majeures (harcèlement sexuel, incitation au suicide, ...).
---> 3 Diffamations et
informations personnelles: Ecrire sur les blogs et les réseaux sociaux, c'est rendre public des propos qui peuvent tomber sous le coup de la loi en raison de leur caractère
discriminatoire, raciste, diffamatoire...Internet est souvent utilisé pour diffuser des informations personnelles ou des photographies sans le consentement de leur propriétaire. L'usage de
ces données personnelles conduit souvent à des faits d'usurpation d'identité.
---> 4
Addiction: Les jeux sur internet, les consoles et les ordinateurs peuvent également devenir pour les jeunes une addiction sévère qui peut conduire à une
désocialisation.
---> 5 Les prédateurs sur
internet: Tchats, emails et messageries instantanées sont des outils très utilisés par les prédateurs sexuels. La virtualisation des rapports propres à internet favorise
les contacts mais aussi les confidences et révélations intimes. Ils s'en servent pour établir une relation de confiance et ainsi mieux manipuler leurs victimes (par le chantage notamment sur
les confidences obtenues). L'essor des appareils communicants (GSM, tablettes, consoles de jeux ...) rend difficile la surveillance par les adultes quant à l'usage qui est fait de
ces moyens de communication. Le dialogue, l'écoute, la formation de l'enfant et des parents restent la meilleure des protections.
---> 6 Désinformation,
contenus violents ou haineux: Les contenus découverts sur internet ne révèlent pas forcément la réalité. Des sites profitent d'internet pour diffuser des théories ou des idées en tout genre
(site haineux, site commerciaux, sites pastiches, canulars, parodies, incitation à la haine raciale ou à la violence, incitation au suicide...). "Ce n'est pas parce que c'est écrit sur internet que c'est vrai". Il faut
apprendre à multiplier les sources d'informations afin de les contredire, les vérifier et de se faire sa "propre idée" sur la validité de l'information.
Les risques de sécurité pour votre ordinateur:
---> 1 Attaque
d'ordinateur: Il existe une grande diversité de logiciels dit "malveillants" qui ont pour but de récupérer sur votre ordinateur des données personnelles comme des mots de
passe, des coordonnées bancaires, des numéros de comptes... Il existe aussi des attaques plus subtiles comme le phishing, les intrusions, l'utilisation des failles de sécurité, les cookies
confidentiels.
---> 2 Les arnaques sur
internet: Faux antivirus, ou logiciels anti-espions, chaîne-mails, escroqueries sur les produits de pharmacie, les logiciels ou les faux avis de recherche (qui jouent
avec l'esprit de solidarité des gens).
--->3 Fraudes à la carte
bleue: Utilisation de vos données bancaires pour faire des achats sans votre consentement.
La protection contre la cybercriminalité :
---> 1 Protection de votre
ordinateur: - Un logiciel anti-virus régulièrement mis à jour et une analyse régulière de l'ordinateur. - Une barrière de protection dite "firewall". Ces logiciels empêchent les intrusions dans votre ordinateur sans votre consentement. - Mettez à jour régulièrement les logiciels que vous utilisez.
---> 2 Avec vos
enfants: - Paramétrez votre navigateur à l'aide des menus "options internet" et "sécurité" pour contrôler les accès aux sites. - Installez un contrôle parental. - Utilisez les sessions d'utilisateurs pour paramétrer chaque compte et mettre un mot de passe "secret" à l'administrateur (vous). - Parlez d'internet avec vos enfants et parlez de son utilisation. Impliquez-vous. - Etablissez un climat de confiance pour qu'ils puissent partager avec vous, même s'ils sont choqués par ce qu'ils ont vu sur internet. Construisez une sorte de
"charte" d'utilisation. - Signalez les contenus et les sollicitations illicites sur votre enfant ---> Internet Signalement. - Installez l'ordinateur dans une pièce de passage (pas dans une chambre d'enfant où il peut se lever la nuit, se désocialiser ou se faire intimider,
harceler...).
---> 3 Protection de vos
achats, de votre argent: - Vérifiez lors de l'achat l'apparition sur le navigateur d'un cadenas fermé et d'une adresse sécurisée du
type "https". - Contrôler pour les nouveaux sites leur SIRET au registre du commerce. - Ne croyez pas tout ce qu'on vous dit sur internet, surtout si ça vous paraît trop beau pour être vrai, c'est sûrement parce que c'est faux (promesse de
grosses sommes d'argent, intermédiaire pour des transactions internationales...). - Ne cliquez pas sur des liens reçus par courriel surtout si c'est pour vous demander vos coordonnées bancaires (aucun organisme de paiement ne vous demandera
cela).
Si vous êtes victime :
---> La première chose à faire
c'est de matérialiser les faits : - s'il s'agit d'internet ou d'un courriel: imprimez la page active. - s'il s'agit de vidéo par webcam par exemple, de tchat ou de MSN: appuyez sur la touche "Imp écr" ou "Print Scrn" (en général en haut à droite,
au-dessus des flèches de direction) qui permettra de prendre une photo de votre écran. Ouvrez ensuite un éditeur d'image (paint, gimp, photoshop, ...) et appuyez simultanément
sur "Ctrl et V" ou
faites "Edition - Coller".
---> Notez la date et l'heure
des faits.
---> Evitez
ensuite de toucher quoique ce soit afin d'éviter de modifier les éventuelles preuves.
---> Rendez-vous
à la gendarmerie la plus proche afin de signaler les faits et éventuellement de déposer plainte. Si nécessaire les enquêteurs exploiteront votre ordinateur pour recueillir
d'autres preuves.
Pour faire opposition sur votre carte bancaire, contactez immédiatement votre agence bancaire ou composez le numéro d'appel suivant, joignable 7 jours / 7 et 24 heures / 24.
• Depuis la France : 01 49 37 80 34 (coût d'un appel local)
• Depuis l'étranger : 00 33 1 49 37 80 34 (coût d'un appel émis de l'étranger vers la France, selon pays).
Déclarez le vol de votre carte au commissariat de police le plus proche. Confirmez votre déclaration par télécopie ou lettre recommandée à votre agence en joignant le récépissé de votre
déclaration.
Faites une déclaration de perte ou de vol auprès des autorités locales compétentes. Prévenez votre agence bancaire, aussitôt après la disparition de votre
carte par télécopie ou lettre recommandée.
BON À SAVOIR
Un numéro d'appel interbancaire, permettant également de retrouver le numéro d'appel de votre centre d'opposition, figure sur les distributeurs automatiques de billets de chaque banque. Lors de
votre appel, vous devrez indiquer le numéro de votre carte et sa date d'expiration. A défaut, les éléments suivants sont susceptibles de vous être demandés : nom, prénoms, adresse, date de
naissance, votre agence bancaire, votre numéro de compte.
PERTE OU VOL DE CHÉQUIER
Avertissez immédiatement votre agence bancaire ou contactez le Centre d'opposition national de la Banque de France au : 0 892 68 32 08*.
Dans les 48 heures qui suivent, vous devez confirmer votre opposition par écrit auprès de votre agence, en précisant les numéros des chèques perdus ou volés. Cette confirmation peut être
effectuée par lettre recommandée avec accusé de réception ou en passant à votre agence.
En cas de vol, vous devez faire une déclaration au commissariat de police ou à la gendarmerie la plus proche du lieu de vol et faire parvenir à votre agence un double de cette
déclaration.
* 0,34 € TTC/mn à partir d'un téléphone fixe
CONSEILS DE SÉCURITÉ
Signez à l'emplacement réservé à cet effet, au verso de votre carte, dès sa remise.
Apprenez votre code confidentiel par cœur, ne le transmettez à personne, ne le notez sur aucun document.
Tapez toujours votre code à l'abri des regards indiscrets.
Conservez précieusement vos tickets de paiement et de retrait pour contrôler vos dépenses et pour agir en cas de litige.
Rappel concernant la règlementation relative à la lutte contre les bruits gênants pour le voisinage
Décret N° 2006-1099 du 31 août 2006
Modifiant le décret du 18 avril 2005
Les travaux momentanés de bricolage ou de jardinage réalisés par des particuliers à l'aide d'outils ou d'appareils susceptibles de causer une gêne pour le voisinage en raison de leur intensité
sonore, tels que les tondeuses à gazon à moteur thermique, les tronçonneuses, perceuses, raboteuses ou scies mécaniques,
Ne peuvent être effectués que :
Les jours ouvrables : de 8h30 à 12h00 et de 14h30 à 19h30
Les samedis : de 9h00 à 12h00 et de 15h00 à 19h00
Les dimanches et jours fériés :de 10h00 à 12h00
Le non respect de ces règles entrainera les contraventions suivantes :
1ère classe: 38 euros
2ème classe: 150 euros
3ème classe: 450 euros
4ème classe : 750 euros
5ème classe : 1500 euros et 3000 euros en cas de récidive.
ou par courrier (en fournissant une copie de justificatif d'identité ou justificatif de domicile) au 33 rue Jean de Méric
- 89190 LAILLY
Inscription sur les listes électorales
Pour vous inscrire sur les listes électorales, il suffit de se présenter en Mairie, avant le 31 décembre aux heures d'ouverture, avec une pièce d'identité et un justificatif de domicile. De plus, la Loi impose à la
Mairie une permanence le 31 décembre durant deux heures qui permet aux retardataires de s'inscrire. Aucune démarche n'est à
faire dans la commune où vous votiez précédemment.
Chiens dit "dangereux"
Vous trouverez ci-joints les documents qui expliquent ce que vous devez savoir et faire lorsque vous détenez ou souhaitez détenir un
chien "dangereux" !
Débrancher de leur prise tous vos équipements non essentiels (PC, téléviseur, téléphone, box ADSL ... ).
Débrancher tous câbles avec un contact avec l'extérieur (prise téléphonique, prise d'antenne ...).
À savoir:
Une multiprise éteinte ne protège pas toujours des fortes surtensions provoquées par la foudre. La surtension peut en effet court-circuiter l'interrupteur; il est donc préférable de
la débrancher électriquement.
Il est possible de brancher tous vos appareils (PC, Box ADSL, téléphone ... ) sur une multiprise parafoudre. Mais selon l'intensité et la durée de la surtension provoquée par la
foudre, la multiprise ne pourra pas toujours protéger votre matériel. Il est préférable de tout débrancher quand cela est possible.
Détérioration du matériel:
Voici quelques exemples de matériels pouvant être endommagés par la foudre.
Tout est resté branché: au mieux l'alimentation de l'ordinateur est détruite, au pire la carte mère (carte centrale) et les autres composants grillent aussi. La box
ADSL, le téléphone et le téléviseur tombent en panne définitivement ...
Tout est débranché électriquement, mais le câble téléphonique est resté branché à la box : La surtension grille la box ADSL, puis via le câble réseau ou USB (branché
entre la box et le PC) détruit les composants d'une ou plusieurs cartes de votre PC (souvent la carte réseau).
Il est donc préconisé de tout débrancher en cas d'orage:
prises électriques et prises téléphoniques.
Attention aux cambriolages
Les gestes les plus simples et évidents sont souvent les plus efficaces.
Protégez les accès
·Équipez votre porte d’un système de fermeture fiable,
d’un moyen de contrôle visuel (œilleton), d’un entrebâilleur.
·Installez des équipements adaptés et agréés (volets,
grilles, éclairage programmé, détecteur de présence, systèmes d’alarme). Demandez conseil à un professionnel (votre assureur peut être de bons conseils puisque certains possèdent leur propre
service d'installation d'alarme et font bénéficier leurs Clients d'une réduction sur la garantie vol de leur contrat habitation).
Soyez prévoyant
·Photographiez vos objets de valeur. En cas de vol, vos
clichés faciliteront à la fois les recherches menées par les forces de l’ordre et l’indemnisation faite par votre assureur.
·Notez le numéro de série et la référence des matériels
et biens de valeur. Conservez vos factures.
Soyez vigilant
·Changez les serrures de votre domicile si vous venez
d’y emménager ou si vous venez de perdre vos clés.
·Fermez la porte à double tour, même lorsque vous êtes
chez vous. Soyez vigilant sur tous les accès, ne laissez pas une clé sur la serrure intérieure d’une porte vitrée.
·Lisez attentivement votre contrat d’assurance
habitation. Il mentionne les événements pour lesquels vous êtes couverts et les mesures de protection à respecter. Prenez contact avec votre assureur pour toute question.
·Avant de laisser quelqu’un entrer chez vous,
assurez-vous de son identité. En cas de doute, même si des cartes professionnelles vous sont présentées, appelez le service ou la société dont vos interlocuteurs se réclament.
·Ne laissez jamais une personne inconnue seule dans une
pièce de votre domicile.
·Placez en lieu sûr vos bijoux, carte de crédit, sac à
main et clés de voiture. Ne laissez pas d’objets de valeur visibles à travers les fenêtres.
·Si vous possédez un coffre-fort, il ne doit pas être
apparent.
·Signalez au commissariat de police ou à la brigade de
gendarmerie tout fait suspect pouvant indiquer qu’un cambriolage se prépare.
Ne commettez pas d’imprudence
·N’inscrivez pas vos nom et adresse sur votre trousseau
de clés.
·Ne laissez pas vos clés sous le paillasson, dans la
boîte aux lettres, dans le pot de fleurs… Confiez-les plutôt à une personne de confiance.
·De nuit, en période estivale, évitez de laisser les
fenêtres ouvertes, surtout si elles sont accessibles depuis la voie publique.
·Ne laissez pas dans le jardin une échelle, des outils,
un échafaudage ; ils offrent des moyens d’entrer chez vous.
·Afin de renforcer la vigilance dans votre quartier et
de diminuer les risques de cambriolages, vous pouvez demander la mise en œuvre du dispositif de participation citoyenne. Il met en relations élus, forces de l’ordre et habitants d’un quartier, dans l’objectif
d’un maillage solidaire entre voisins. Contactez votre Maire, pivot du dispositif.
Avant
de partir en vacances
·Informez votre entourage de votre départ (famille, ami,
voisin, gardien,…).
·Faites suivre votre courrier ou faites-le relever par
une personne de confiance : une boîte aux lettres débordant de plis révèle une longue absence.
·Transférez vos appels sur votre téléphone portable ou
une autre ligne.
·Votre domicile doit paraître habité tout en restant
sécurisé. Créez l’illusion d’une présence, à l’aide d’un programmateur pour la lumière, la télévision, la radio…
·Ne diffusez pas vos dates de vacances sur les réseaux
sociaux et veillez à ce que vos enfants fassent de même. Aussi, il est déconseillé de publier vos photos de vacances. Toutes ces informations facilitent l’action des cambrioleurs.
Opération tranquillité
vacances
Vous pouvez signalez votre absence au
commissariat de police ou à la brigade de gendarmerie. Dans le cadre de leurs missions quotidiennes, les forces de sécurité pourront surveiller votre domicile.
En
cas de cambriolage
·Prévenez immédiatement le commissariat de police ou la
brigade de gendarmerie du lieu de l’infraction.
·Si les cambrioleurs sont encore sur place, ne prenez
pas de risques inconsidérés ; privilégiez le recueil d’éléments d’identification (type de véhicule, langage, signalement, vêtements, …).
Avant l’arrivée des forces de
l’ordre
Préservez les traces et indices à
l’intérieur comme à l’extérieur :
·ne touchez à aucun objet, porte ou fenêtre
·interdisez l’accès des lieux
Une fois les constatations
faites
·Faites opposition auprès de votre banque, pour vos
chéquiers et cartes de crédits dérobés.
·Prenez des mesures pour éviter un nouveau cambriolage
(changement des serrures, réparations, …). Vérifiez votre contrat d'assurance car celui-ci prévoit peut être une assistance afin de sécuriser le site.
·Déposez plainte au commissariat de police ou à la
brigade de gendarmerie, en vous munissant d’une pièce d’identité. Pour gagner du temps, vous pouvez déposer une pré-plainte sur internet : https://www.pre-plainte-en-ligne.gouv.fr/
·Déclarez le vol à votre assureur, par lettre
recommandée, dans les deux jours ouvrés. Vous pouvez y joindre une liste des objets volés, éventuellement avec leur estimation.
Pourquoi déposer
plainte ?
Il existe des spécialistes de police
technique et scientifique dans chaque département. Ils relèvent les traces et indices en vue d’identifier les auteurs des cambriolages.
Si
vous êtes victime ou témoin d’un cambriolage, composez le 17
Si vous constatez que votre Carte bancaire et/ou chéquier ont été volé, pensez aux numéros ci-dessous :